Derrière la machine, des dizaines de tubes en acier s'alignent, prêts à être descendus dans le puits qui ne devra théoriquement pas dépasser 450 mètres. À ces profondeurs, l'eau est souvent saumâtre et impropre à la consommation, et nécessiterait un traitement conséquent. De nombreux puits auraient été construits du côté turc au cours des dernières décennies afin d'extraire massivement l'eau des nappes. En conséquence au Rojava, on constate que la quantité d'eau qui devrait être trouvée dans les sols diminue de manière accélérée.
En périphérie de Qamishlo, Rojava, Syrie
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