Un habitant remplit directement ses bidons sur le flanc d'un camion-citerne. Pour beaucoup, c'est le seul moyen d'obtenir de l'eau au jour le jour. Même si l'Administration autonome tente de faire le nécessaire pour contrôler la qualité des citernes entrant dans la ville, car beaucoup ne proviennent pas des puits qu'elle contrôle, un contrôle efficace est compliqué au vu des flux. Les ONG locales signalent déjà des problèmes dermatologiques et digestifs liés à cette eau de mauvaise qualité, sans en savoir les conséquences à long terme.
Hassaké, Rojava, Syrie
|