Autour du réservoir communautaire installé avec l'aide d'une ONG, les habitants attendent leur tour pour remplir leurs bidons. Malgré le soutien ponctuel de l'UNICEF et d'autres ONG, la municipalité ne peut couvrir que les besoins prioritaires des camps de déplacés, des administrations, et des hôpitaux. Le reste dépend de la débrouille et de la solidarité. À Hassaké, l'eau est devenue à la fois marchandise, enjeu politique, et mesure quotidienne de la survie.
Hassaké, Rojava, Syrie
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