Une femme montre ses mains crevassées : « Trop de chlore », dit-elle. Les ONG assurent que l'eau respecte les critères d'urgence humanitaire, mais sur les peaux, les plaies parlent d'elles-mêmes. Pour boire, beaucoup achètent des bouteilles, un luxe dans un camp où les revenus sont précaires sinon inexistants. Beaucoup parmi les femmes travaillent dans les champs, pour l'équivalent de 0,5 dollar de l'heure.
Camp de déplacés internes de Washokani, Hassaké, Rojava, Syrie
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